Tropicus veut une baguette...

Tropicus ouvra la porte de la boutique.
Il fit des yeux ronds en voyant la boutique.
Elle était pleine de poussière...
Il y avait une sonnette, posée sur le comptoire.
Ne voyant pas le marchand, Tropicus pensa qu'elle était utile, surtout quand il lit ce qu'il y avait marqué.
"DING DING DING" ! Fit la sonnette.
Tropicus attendit, tandis que Plantatium s'endormait sur une chaise poussérieuse.
Ce dernier éternua, et choisit finalement de dormir sur un rebord du mur.

"Ding ding ding", entendit le vieil homme qui travaillait dans son atelier au plus profond du magasin.

Il se rendit à son comptoir et y trovua un jeune Terro accompagné de son animal de compagnie.

"Bonjour jeune Feuillus. Quel beau nom pour un terro!! Je suis Endymion Selestin, et je suis le marchand de baguettes. Asseyez quelques instants le temps que j'aille chercher votre baguette."

Après quoi il repartit dans ses rayons, laissant Tropicus seul quelques instants.

Il revint 5 minutes plus tard, une boite oblongue dans sa main droite. Il la posa sur le comptoir, et l'ouvrit, découvrant une belle baguette en bois, couleur merisier, et finement décorée. Il la tendit à Tropicus en lui donnant les conseils suivants.
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"Voici votre baguette. Le premier contact est très important car il vous faudra lier un lien avec elle. Ce n'est pas grave si vous échouez à votre première tentative, mais il vous faudra réussir si vous voulez vous en servir un jour. Pour celà, vous allez vous concentrez sur une pensée agréable, qui vous tienne à coeur, de manière à donner l'envie à la baguette d'être avec vous. Vous essayez? A moins que vous n'ayiez une question?"

Il attendit que le jeune homme réponde ou prenne la baguette.

Un homme vint vers le comptoir pour repartir.
Finalement, il revint avec une boîte, il la posa sur le comptoir, et l’ouvrit.
Oôôôôh ! La belle baguette magique !
L’homme expliqua les instructions à Tropicus, qui acquiesça de la tête.
Il prit la baguette, et pensa au moment où il avait rencontré Plantatium.
Tropicus se balladait dans la savane…
Tropicus sentait une différence de température soudaine…
Quand il aperçut deux hommes, l’un portant un fusil. Tropicus rampa jusqu'à eux pour les écouter, plein de curiosité.
Il sentit les hautes herbes lui effleurer le visage…
L’un se mit à râler :
« Qu’est-ce que je peux détester cet endroit !
- Soit patient, Jean-Claude ! Pense à la fortune que nous aurons ! »
Tropicus vit qu’un chaton à grandes oreilles était tapit à côté de lui, espionnant les deux hommes.
« Tu as raison, tout va aller plus vite avec le dépoilleur 6 !
- Depuis le temps qu’on cherchait une machine capable d’enlever la fourrure des animaux sans les abimer !
- Et vivants, en plus ! »
Tropicus sentit une rage en lui.
Tropicus prit un gros caillou, et le lança dans la figure des braconniers. Ces derniers se retournèrent pour attaquer l’enfant, mais ce dernier s’était emparé d’un gros bâton et leurs envoya un grand coup dans la figure. L’un tomba à la renverse. Le chaton, lui, miaulait très fort, comme si il voulait appeler quelqu’un. Puis un troupeau d’animaux diverses apparurent à l’horizon et se dirigèrent droit vers les deux braconniers. L’un s’enfuit, l’autre qui était par terre se releva (en se prenant un second cailloux dans la figure). Tropicus se mit à courir après les braconniers, accompagné de tout le troupeau. Le chaton, lui avait grimpé sur le dos de l’éléphant et miaulait à Tropicus, comme si il voulait qu’il le rejoigne. Tropicus aperçut l’œil de l’éléphant se tourner vers lui et lui faire un clin d’œil. Donc, Tropicus grimpa sur le dos de l’éléphant et poursuivait les deux braconniers avec un grand troupeau d’animaux de toutes sortes.
Tropicus sentait la joie lui piquer le visage, mais il reprit ses esprits et eu du mal à reconnaître l’endroit.
*Où suis-je ?*
Mais il se rappela bientôt de ce qu’il était allé faire, et fixa l’homme qui lui avait donné la baguette, dans l’attente qu’il dise quelque chose.

Le jeune homme se prit très bien au jeu...au point de se mettre à rever de lui même...ce qui sembla plaire à la baguette.

Alors que Tropicus rouvrait les yeux, la baguette se mit à luire d'une lueur verdatre.

Le jeune homme se sentit comme aspiré apr le haut et tout à coup, il se retrouva de nouveau dans la savane. Les deux braconniers couraient toujours. L'un d'eux sortit un gros fusil harpon et visa l'éléphant. Le projectile semblait parti pour traverser le crane de l'animal lorsqu'une gazelle l'attrappa en plein vol avec ses dents.

Elle atterrit aux pieds de Tropicus et lacha le harpon. Puis, une lueur verdatre dans les yeux, elle courut vers les braconniers . Ceux ci se mirent à courier, mais en moins qu'il ne fallait pour el dire, la gazelle les avait rattrapé. La lueyr verdatre gagna ses cornes et un rayon frappa les deux hommes, qui se raidirent et s'arreterent, l'air hébété.

Les animaux s'arreterent à leur tour et firent cercle autour d'eux.

La gazelle prit place devant eux, et les hommes reprient vie. Elle leur parla, expliquant la cruauté de leurs actes, et le fait qu'ils ne devraient plus jamais remettre les pieds ici.

Les hommes acquièscèrent et la gazelle les laissa partir à toutes jambes.

Tropicus, qui suivait la scène depuis son élémphant, cligna des yeux et se retrouva face à Endymion.

Celuici lui parla en ces termes:

'Vous avez acquis la confiance de sa baguette. Celle ci est faite d'un bois de baobab et contient un extrait de corne de gazelle verte. C'est une version magique de la gazelle commune, dotée d'une intelligence supérieure à celle des humains. Un peu la licorne de la savane...dans un certain sens. La vision que vous avez eu explique assez bien sa personnalité et ses capacités.....soyiez en digne...."

Il reposa la baguette dans sa boite et la tendit au garçon. Il sortit un pot en terre cuite et le posa à coté.

"Voici un onguent d'entretien. Une onction par semaine, dix minutes à chaque fois, et votre bageutte conservera totues ses facultés. La baguette vous coutera 25 MA. L'onguent est cadeau."

Il lui sourit et attendit...

L'homme posa un étrange pot en terre cuite.
Il lui expliqua qu'il fallait s'en servir pour que la baguette garde ses facultés, puis il lui annonca le prix : 25MA.
Tropicus pris une poignée de pièces et les mit sur le comptoir.
"Merci beaucoup et bonne fin de journée !"

Il ouvrit la porte, regarda une dernière fois la boutique, et referma la porte derrière lui.