orange est de retour

Kanako fut très fachée que personne ne lui réponde, elle fronça les sourcils et s'avança dans la pièce sans vraiment prendre garde à qui que se soit.
Les deux jeunes filles avaient commencé à parler, et le Goblin se faisait de plus en plus menaçant,

*Wolololoooo ! Bon bon allé j'y met mon grain de sel ou j'y met pas ??? J'y met ! *

Conclua-t-elle avec un sourire.
Qui disparut aussitôt quand le voleur s'énerva, elle n'avait pas entendu la discussion des deux jeunes filles, et elle était toute disposée à croire les paroles de l'homme.

"Ben c'est du jolie ça ! Vous êtes vraiment ignobles de dire des choses pareilles, à votre âge ... "

Elle n'éleva pas plus la voie. L'espace d'un instant elle avait oublié qu'elle n'avait qu'un an de plus qu'elles, voire deux grand maximum.
Elle finit par se diriger vers le pauvre malheureux,

"Vous en faites pas monsieur hein ... ce sont que des gamines, faut pas faire gaffe à ce qu'elles racontent ... "

Elle lui fit un sourire puis se tourna vers le Goblin,

"Bon ... dites ... Vous allez le lâcher hein ? vous comptez pas vraiment le tuer ? "

La question de kanako était très serieuse, elle pensait réellement pouvoir sauver ce pauvre homme.
Puis elle repensa à la dame qui était dehors et dit à voie basse,

"A oui, heu au fait ... J'aimerais faire un retrait de ... 50 MA au nom de Mme Najac ... Si possible, avec le n° de compte ... haem ... *** ... voila !"

Elle fit un sourire.

Lorsque la fantômette prit le parti du fou et fit une réflexion très désagréable aux 2 jeunes élèves, Ephemeria lui lança un regard venimeux. Elle fut contente que sa camarade la soutienne en remballant l'intrue avec talent, mais elle préféra ajouter :

- "Bah, ne fais pas attention Orange. Beaucoup de fantômes aiment se mêler de tout et de rien. Je t'en parlerai plus tard..."

Elle eut une légère grimace en pensant :
*Madame Najac ? Cette fantôme n'est sûrement pas mariée !! Ma pauvre, si tu crois qu'un banquier gobelin va être assez sot pour te confier de l'argent d'un compte qui ne t'appartient pas, tu rêve...*

Elle réfléchit un instant à l'endroit où sa conversation avec Orange avait été grossièrement interrompue et reprit en murmurant, pour que cette fois-ci, personne ne s'en mêle :
- "Je serai contente que tu me parle un peu de ta famille. Je n'ai jamais rencontré de sorcière d'origine moldue, alors il y a un tas de choses que j'aimerai savoir. Toi aussi, j'ai l'impression, non ?"

( désolée de pas attendre!^^ )

Kanako lança un regard réellement mauvais à la jeune fille blonde, encore, la rousse n'avait pas tout à fait tort, mais L'autre là,

"Dit donc la gamine ... Jte rapelle que j'ai à peut près 300 ans de plus que toi alors ,
1, les fantômes ne fourrent pas leur nez dans les affaires des gens, JE fourres mon nez dans les affaires des gens.
2, La question n'est pas de savoir si c'est homme vous a volé ou non, dans le cas présent il sagit de savoir "pourquoi . "
et 3 ... J'aime pas les blondes prétentieuses ! "

Elle tourna les talons et retourna vers le guichet.
Elle avait pas mal mentit, non elle n'avait qu'un an de plus que ses filles, mais elles n'étaient as sencées le savoir, ensuite elle était relativement conciente qu'elle faisait preuve de mauvaise foie.
mais cette fille l'avait vraiment énervé (surtout Ephémeria . ).

Avec un peut de recul il y avait fort à parier que Golby ne lui donne pas la bourse.
Mais Kanako avait ça petite idée.

(Golby ! Golby ! A toi Golby !)

- "Oui, d'accord Orange, bonne idée." fit Ephemeria.

Puis la brume parlante se mit à étaler son mécontentement... Malgré son jeune âge, Ephemeria adorait la logique. Elle n'était pas bonne en calcul, et ne savait pas plus dessiner qu'un âne affublé d'un pinceau entre les dents, mais on la prenait rarement en défaut lorsqu'il s'agissait de logique.
Aussi elle resta absolument bouche bée devant "l'argumentation" de la fantômette.

Repassant rapidement dans sa tête les différents points du discours de l'ombre, elle trouva qu'ils étaient nuls et non avenus. L'ensemble donnait à Ephemeria une telle impression d'absurdité et de puérilité qu'elle ne pensa même pas à se mettre en colère : elle fut prise d'un fou rire silencieux. Heureusement, la morte lui avait tourné le dos.

Il n'est jamais bon de fâcher un fantôme. Quoi de mieux qu'un mort pour vous pourrir la vie ?

Elle mit donc sa main devant sa bouche, prête à camoufler son rire en éternument, comme elle l'avait fait plusieurs fois devant maman Sermiane, et laissa libre court à son hilarité muette.

(Mais moi, je trouve ta déclaration trop mignonne. Pauvre petite fantôme !)

(j'arrive j'arrive)

Golby ne put s'empecher de se tordre d'un rire encore plus sadique et plus odieux que jamais...car non content d'être égocentrique, mal embouché et caractériel, il était aussi raciste...notamment envers les Cracmols

"Que c'est pitoyable...un cracmol qui tente de s'attaquer à une enfant sorcière et se fait avoir par elle...D'autant que je suis sure qu'elle ne connait pas le moindre sort...AH AH AH....quelle misère...."

Puis il réalisa la présence du fantome, qui s'en prit aux deux fillettes.....

Il ne nota donc pas son intervention, se disant qu'elle trouverait certainement le temps de reformuler la question qu'il n'avait de totue façon pas écouté.

Puis il se dit qu'il fallait prendre une décision....et se montra...clément.

Il aurait pu l'envoyer au fond d'un cachot dans lequel il aurait pourri pour l'éternité, mais se dit que ce serait une mauvaise publicité devant tout ces jeunes qui peuplaient le hall.

Aussi se décida t'il d'appliquer le chatiment réservé aux raclures pathétiques qui peuplaient cette cité...ou l'école.

L'expulsion.

Il appuya sur un bouton et les cordes se dressèrent, s'entortillant avc encore plus de force autour de l'homme. Elles se plièrent légèrement, comme prenant une sorte d'élan puis propulsèrent l'infortuné voleur vers l'extérieur.

Alros qu'on aurait pu croire qu'il allait s'écraser sur les portes encore fermées de la banque celles ci s'ouvrirent pour lui laisser le passage.

L'homme alla s'écraser comme ue vieille pomme trop mure sur le sentier qui passait devant l'établissement......

Golby ne put masquer la grimace de satisfaction qui "illuminait" son visage.

Ephemeria fut très étonnée que le gobelin en chef n'ait pas appelé la police, mais elle trouva le vol plané du fou très réussi.

Puis elle réalisa qu'elle devrait ensuite ressortir dans la rue où se trouverait le dangereux individu, et trouva la situation beaucoup moins drôle.

- "Tu viens Orange ? Sortons avant qu'il ne se relève !"

C'était rigolo la façon qu'avait cette fille de la prendre par la main, elle avait l'impression d'être sa petite soeur alors qu'elles devaient avoir à peu près le même âge...

- "On peut aller chez le tailleur si tu veux bien ?" répondit Ephemeria en consultant sa liste d'achats à effectuer.

( Rendez-vous dans l'allée piétonne !)

Kanako regardait la scène avec équeurement et amertume. Elle ne rajouta rien aux paroles qu'elle avait destiné à Ephéméria, mais c'était loin d'être fini et Kanako, comme tout bon fantôme, était rencunière.

Quand elle vit la non réaction du Goblin elle s'apporcha d'un pas farouche vers les contoir, il se moquait ouvertement de ce pauvre individu,

*Si je réagit madame Najac elle aura jamais son argent . *

les portes s'ouvrirent alors,

*Bien, au moins je pourrais lui prouver ma franchise *

"Haem ...s'il vous plez, j'ai besoins de retirer de l'argent au compte de madame Najac n° ??? ... "

Elle jeta un coup d'oeil dehors la vieille femme était dehors et atendait patiement devant la porte ,

"Elle est dehors là ... s'il vous plais"

Elle montra Mme Najac du doigt au vieux ( si t'es vieux !) banquier .

Kanako fronça les sourcils.
Elle afficha un légé sourire plein de malice et elle répondit non sans arogance,

" Oui, mais toute fois nous n'arrivons pas à votre niveau... "

Elle fit un dernier sourire, et se dirigea vers la vieille dame qui attendait à l'entrée .
Elle aurait bien aimé pourrir la répitation de cette banque .
Mais elle prendrait surement plaisir à faire enrager ce Goblin.

"Madame, c'est bon, il n'ya plus de danger, vous pouvez aller cehrcher votre argent . "

kanako l'accompagna vers le guichet en se faisant un peut discrète . Sans pour autant êter ne serais-ce qu'un peut intimidée .